Crédit documentaire – Lettre de crédit : entre 65 et 80 % des documents remis ne sont pas conformes. Une note de la Commission bancaire de l’ICC nous en donne les raisons.
Cette sécurité de paiement essentiellement utilisée à l’international repose sur la présentation en banque de documents conformes aux conditions du crédit documentaire (communément appelé lettre de crédit ou L/C).
Or, la Commission Bancaire d’ICC (International Chamber of Commerce) nous annonce encore entre 65 et 80 % de documents refusés lors de la première présentation en banque.
Ceci ne signifie pas forcément un impayé à la clé, mais en cas d’irrégularités documentaires, l’exportateur subit quasi-systématiquement des retards de paiement, des surcoûts administratifs et des frais bancaires supplémentaires.
La Commission Bancaire d’ICC a identifié un certain nombre de problématiques pour lesquelles il s’est révélé nécessaire qu’elle apporte son éclairage technique ainsi que des conseils.
Téléchargez le Technical Advisory Briefing N°3 de la Commission Bancaire d’ICC (en anglais) pour réduire le taux d’irrégularités. Vous y trouverez notamment :
- Une analyse de la situation.
- Les principaux motifs de réserves bancaires.
- Des conseils avisés de l’ICC.
Pour réduire au maximum les réserves bancaires et par voie de conséquence, le risque de ne pas être payé, il convient de maîtriser les Règles et Usances (RUU600) ainsi que les Pratiques Bancaires pour l’examen de documents remis dans le cadre d’un crédit documentaire (PBIS brochure 745). Ces ouvrages sont disponibles à la librairie de l’ICC. A compléter bien entendu par des formations pratiques !
Source : notre partenaire CREDIMPEX.